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Automne 2008
 
Des craintes démesurées de stagflation
Des craintes démesurées de stagflationL’année a été difficile pour les investisseurs en raison de la débâcle du marché américain de l’habitation qui a continué de miner les liquidités, de réduire le crédit disponible et de gruger les bénéfices. L’économie mondiale a ralenti, particulièrement dans les pays du G7, en raison d’un resserrement des modalités de crédit survenu en dépit d’un assouplissement de la politique monétaire des banques centrales au cours de l’année. Dans cette conjoncture, les récentes flambées des prix des aliments et de l’énergie ont fait craindre à plusieurs une stagflation semblable à celle des années 1970. Mais pareil scénario est peu vraisemblable compte tenu de l’effritement du pouvoir des syndicats et de l’incapacité de la main-d’œuvre à demander l’indexation des salaires au coût de la vie.

 


REEE – Du nouveau sur le site de BMO Ligne d’action


REEE – Du nouveau sur le site de BMO Ligne d’actionUne autre excellente raison de regrouper vos placements

De nos jours, plus de deux nouveaux emplois sur trois exigent un diplôme d’études postsecondaires et bien des gens sont découragés à l’idée de devoir payer le coût des études collégiales et universitaires de leurs enfants. On les comprend : à l’heure actuelle, suivre un programme d’études typique de 3 ou 4 ans peut coûter jusqu’à 60 000 $ par année. Qui plus est, les spécialistes prévoient que ces frais pourraient atteindre 100 000 $ d’ici à ce que vos enfants entrent au collège ou à l’université. Investir dans un REEE est l’une des meilleures façons de préparer ce moment.




Le compte d’épargne libre d’impôt


La grande nouveauté depuis le REER

Le compte d’épargne libre d’impôtDans l’état actuel des choses, utiliser au mieux son argent et réduire sa facture fiscale n’est pas une mince affaire, même pour le plus avisé des épargnants.
Dorénavant, toutefois, les Canadiens pourront garder une plus grande part du revenu qu’ils ont durement gagné en investissant dans le nouveau compte d’épargne libre d’impôt (CELI) annoncé dans le budget fédéral de 2008 et en ne cédant rien au fisc des gains en capital, dividendes et intérêts générés par leurs placements.





Des craintes démesurées de stagflation

Des craintes démesurées de stagflationL’année a été difficile pour les investisseurs en raison de la débâcle du marché américain de l’habitation qui a continué de miner les liquidités, de réduire le crédit disponible et de gruger les bénéfices. L’économie mondiale a ralenti, particulièrement dans les pays du G7, en raison d’un resserrement des modalités de crédit survenu en dépit d’un assouplissement de la politique monétaire des banques centrales au cours de l’année. Dans cette conjoncture, les récentes flambées des prix des aliments et de l’énergie ont fait craindre à plusieurs une stagflation semblable à celle des années 1970. Mais pareil scénario est peu vraisemblable compte tenu de l’effritement du pouvoir des syndicats et de l’incapacité de la main-d’œuvre à demander l’indexation des salaires au coût de la vie.

Les prix ont grimpé à une vitesse inégalée depuis des décennies, à la faveur de la hausse des prix des produits de base. Les banques centrales considèrent toujours l’inflation comme un problème de taille, car la hausse des prix du pétrole et des aliments gruge le pouvoir d’achat discrétionnaire et réduit les bénéfices des sociétés, augmentant du coup le risque d’une récession. En raison de la progression de l’inflation, la Banque du Canada a inopinément maintenu ses taux cet été, tandis que la Banque centrale européenne relevait les siens pour freiner les hausses des salaires. La crise du crédit se poursuit et les principales économies s’essoufflent davantage. Au cours des dernières semaines, les prix des produits de base ont brusquement glissé de leurs sommets, réduisant les attentes d’inflation.

Causée par le recul des produits de base et le ralentissement de l’économie mondiale, la récente hausse de l’inflation globale est temporaire. Au deuxième trimestre, les économies de la zone euro, du Royaume-Uni et du Japon se sont contractées tandis que la demande intérieure aux États-Unis a fléchi malgré des remboursements d’impôt. Le Canada a enregistré son taux d’inflation le plus élevé en cinq ans, affecté par la hausse des prix des aliments et de l’énergie, contre laquelle le huard ne fait plus le poids. Alors que les prix seront sous pression encore quelques mois, l’inflation devrait être inférieure aux dernières prévisions de la Banque du Canada. L’économie canadienne s’est malgré tout détériorée, affaiblie par la fin de son essor immobilier et par une croissance américaine anémique. Les prix des logements, qui étaient l’un des marchés les plus chauds, sont à la baisse, tandis que la construction est sur une mauvaise pente. La croissance canadienne va probablement stagner jusqu’à la fin de l’année et ne se redresser que faiblement en 2009.

Les États-Unis connaissent une récession causée par le fléchissement des dépenses de consommation, la première en près de 20 ans. Depuis le début de la crise l’an dernier, la Réserve fédérale a déjà abaissé le taux des fonds fédéraux de 325 points de base, et injecté des centaines de milliards de dollars dans le secteur financier en vue d’assouplir les conditions du crédit. Le marché de l’habitation n’a pas atteint un creux que déjà les institutions financières prévoient procéder à d’autres dépréciations et les pertes seront vraisemblablement plus importantes l’an prochain en raison du ralentissement économique. D’autres économies développées s’affaiblissant considérablement, le dollar américain a quelque peu rebondi ces dernières semaines.

Le raffermissement du billet vert et le ralentissement de l’économie mondiale devraient endiguer les prix des produits de base au cours de la prochaine année. D’ici la fin de 2008, les perspectives demeurent sombres pour les actions. Mais elles devraient s’améliorer en 2009, car les marchés boursiers ont tendance à se redresser à l’approche d’une reprise économique.

Conclusion : Les craintes d’une stagflation sont démesurées, car le ralentissement de l’économie mondiale réduit la demande de produits de base, tandis que la hausse du chômage freinera possiblement les augmentations salariales. À l’approche de 2009, l’inflation devrait diminuer, permettant aux banques centrales d’assouplir leurs politiques monétaires et d’ainsi préparer le terrain pour une reprise plus tard l’an prochain.

 

Sherry Cooper est stratège en économie mondiale et vice-présidente à la direction,
BMO Groupe financier, ainsi qu’économiste en chef de BMO Marchés des capitaux.

 


REEE – Du nouveau sur le site de BMO Ligne d’action

REEE – Du nouveau sur le site de BMO Ligne d’actionUne autre excellente raison de regrouper vos placements

De nos jours, plus de deux nouveaux emplois sur trois exigent un diplôme d’études postsecondaires et bien des gens sont découragés à l’idée de devoir payer le coût des études collégiales et universitaires de leurs enfants. On les comprend : à l’heure actuelle, suivre un programme d’études typique de 3 ou 4 ans peut coûter jusqu’à 60 000 $ par année. Qui plus est, les spécialistes prévoient que ces frais pourraient atteindre 100 000 $ d’ici à ce que vos enfants entrent au collège ou à l’université. Investir dans un REEE est l’une des meilleures façons de préparer ce moment.

Une croissance en franchise d’impôt et une aide gouvernementale

Que vous ayez déjà ou non un REEE pour vos enfants, vous devriez savoir qu’il présente des avantages indéniables. Vous bénéficiez d’une grande liberté, d’une croissance à l’abri de l’impôt et de la possibilité d’obtenir des subventions gouvernementales. Lorsque les fonds sont retirés du régime pour payer les études postsecondaires d’un enfant, c’est lui qui doit payer l’impôt sur les sommes touchées et, comme il est étudiant, la facture sera minime, voire inexistante.

Gérez vous-même votre portefeuille REEE

Vous avez déjà fait le choix de vous occuper vous-même de vos placements avec BMO Ligne d’action. Vous pouvez maintenant gérer aussi les placements que vous faites en vue des études de vos enfants, puisque nous avons ajouté les comptes REEE à notre gamme de produits diversifiée. Grâce au Centre REEE et au relevé détaillé de votre compte REEE, vous pouvez faire le point en tout temps sur vos placements et les administrer facilement, au même endroit.

Regrouper, c’est économiser!

Vous pouvez réaliser d’importantes économies en regroupant vos avoirs. Les clients qui ont un actif de plus de 100 000 $ ou qui participent au Programme cinq étoiles ou au Programme pour les investisseurs actifs paient des frais fixes de seulement 9,95 $ par opération. Pour avoir le plein contrôle de votre portefeuille de placements, il est bon de regrouper vos placements auprès de BMO Ligne d'action..

Pour en savoir plus sur les REEE (et accéder à des outils de calcul, à une foire aux questions et à des articles, ouvrez une session dans bmolignedaction.com et cliquez sur Centre REEE dans le menu Planification.

 

Le compte d’épargne libre d’impôt

Le compte d’épargne libre d’impôtLa grande nouveauté depuis le REER

Dans l’état actuel des choses, utiliser au mieux son argent et réduire sa facture fiscale n’est pas une mince affaire, même pour le plus avisé des épargnants. Dorénavant, toutefois, les Canadiens pourront garder une plus grande part du revenu qu’ils ont durement gagné en investissant dans le nouveau compte d’épargne libre d’impôt (CELI) annoncé dans le budget fédéral de 2008 et en ne cédant rien au fisc des gains en capital, dividendes et intérêts générés par leurs placements.

Le CELI est considéré comme étant le plus important allégement fiscal mis à la disposition des particuliers depuis la création, il y a plus de 50 ans, du régime enregistré d’épargne-retraite (REER). Grâce au CELI, offert dès janvier 2009, il sera possible d’accumuler et de faire fructifier votre épargne en franchise d’impôt.

Comme il est beaucoup plus souple que les instruments d’épargne enregistrés et qu’on peut y prélever des sommes à sa guise, le CELI peut s’intégrer aisément dans votre stratégie de retraite. Alors que le REER est surtout conçu pour financer la retraite, le CELI peut servir à toutes sortes de fins : démarrage petite entreprise, achat d’une maison, d’une voiture, travaux de rénovation, mariage ou voyage de rêve. Les possibilités se comptent par dizaines!

Avantages et caractéristiques

  • Le CELI est réservé aux Canadiens d’âge majeurs, qui peuvent y verser jusqu’à 5 000 $ en 2009. Le gouvernement entend ajuster ce plafond périodiquement, par multiples de 500 $, pour tenir compte de l’inflation. Il n’y a pas de maximum à vie.

  • Contrairement aux cotisations REER, les sommes versées dans un CELI ne sont pas déductibles du revenu imposable. En revanche, tous les revenus de placement – intérêts, dividendes et gains en capital – sont exempts d’impôt, même en cas de retrait.

  • Comme c’est le cas du REER, les droits de cotisation inutilisés peuvent être reportés indéfiniment. Par exemple, si vous placez seulement 3 500 $ (plutôt que 5 000 $) en 2009, vous pourrez verser 6 500 $ en 2010 (les 1 500 $ restants de 2009 s’ajoutent aux 5 000 $ pour 2010).

  • Les retraits sont permis en tout temps et vous pouvez utiliser l’argent comme vous le voulez, sans impôt.

  • L’argent que vous retirez une année, y compris les revenus de placement est ajouté à vos droits de cotisation pour l’année suivante. Vous pouvez reporter ces droits indéfiniment.

  • De façon générale, vous pouvez faire les mêmes placements dans un CELI que dans un REER (actions, titres à revenu fixe, fonds d’investissement, CPG, etc.).

  • Ni les revenus de placement ni les retraits d’un CELI ne modifient votre admissibilité aux prestations et aux crédits fédéraux fondés sur le revenu (c.-à-d. la Sécurité de la vieillesse, la Prestation fiscale canadienne pour enfants, le crédit pour TPS, le Supplément de revenu garanti).

  • Vous pouvez fournir à votre conjoint des sommes à verser dans son CELI (dans la mesure où il lui reste des droits de cotisation inutilisés). Les règles d’attribution du revenu ne s’appliquent pas.

  • Lorsque les provinces et les territoires auront adopté les lois habilitantes nécessaires, il sera possible, au décès du titulaire, de transférer les actifs de son CELI à celui de son conjoint.

  • Le transfert d’un placement non enregistré à un CELI est considéré comme une disposition présumée, à la juste valeur marchande. Vous devrez donc payer l’impôt sur les gains réalisés, mais, si vous réalisez plutôt une perte de placement, il vous sera impossible de la déduire de votre revenu imposable.

C’est à vous de choisir l’usage que vous ferez du CELI, mais il faut réfléchir avec soin aux différentes options offertes. Les types de placement permis étant très nombreux, il vaut mieux, par conséquent, évaluer d’abord vos objectifs financiers. Vous serez mieux à même de prendre une décision éclairée quant à la façon d’intégrer le CELI dans votre portefeuille. La place relative accordée au CELI et aux autres régimes d’épargne gouvernementaux dans votre plan financier variera selon votre âge, votre revenu imposable et votre tolérance au risque.

BMO Ligne d’action offrira des CELI à compter de janvier 2009. Pour savoir comment fonctionne le CELI, consultez bmolignedaction.com.


Profitez des avantages de l’analyse technique

Profitez des avantages de l’analyse techniqueVous cherchez un outil puissant qui vous aidera à déterminer quels sont les titres que vous devriez vendre ou acheter? Informez-vous sur notre nouvel outil d’analyse technique.

Ce nouvel outil, offert depuis peu sur le site bmolignedaction.com, utilise une méthode de pointe qui permet d’analyser les cours des titres. À partir d’analyses graphiques des volumes de transactions passés et des fluctuations historiques des cours, il permet de dégager les tendances qui pourraient aider à en prévoir l’évolution future. L’analyse technique pourrait donc vous aider à repérer les titres que vous devriez vendre ou acheter.

Grâce notamment à des analyses quotidiennes, à des graphiques avancés et à un glossaire de termes techniques assorti de graphiques faciles à comprendre, l’outil d’analyse technique procure les avantages suivants :

  • Bonne vue d’ensemble de l’évolution du marché – Les graphiques illustrent les mouvements des cours, les tendances qu’ils suivent et l’importance de ces tendances. Les données sur les volumes de transactions, les oscillateurs et l’évolution tendancielle des cours donnent une idée claire de l’évolution du marché.
  • Repérage aisé des tendances permettant de prévoir l’évolution des cours – Les graphiques permettent de repérer les tendances qui vous aideront à prévoir la hausse ou la baisse des cours des titres.
  • Élimination des formules mathématiques complexes  L’analyse technique exige moins de temps que l’analyse fondamentale.
  • Repérage rapide des tendances du momentum, de la volatilité et des cours  Les graphiques et les indicateurs techniques vous procurent une foule de renseignements en quelques minutes à peine, grâce auxquels vous pouvez cerner les tendances et déterminer les seuils de soutien et de résistance.

Pour obtenir de plus amples renseignements sur l’analyse technique (tutoriel, renseignements détaillés, exemples, etc.), consultez la section Analyse technique du menu Recherche du site bmolignedaction.com.

 

* Pour l'instant, l'analyse technique n'est disponible qu'en anglais.


L’Outil de rééquilibrage du portefeuille vous fait gagner du temps

L’Outil de rééquilibrage du portefeuille vous fait gagner du tempsL’Outil de rééquilibrage du portefeuille vous aide à ramener la répartition de l’actif de votre portefeuille à celle établie au départ.

Tout d’abord, si ce n’est déjà fait, dressez votre profil d’investisseur à l’aide de l’Outil de répartition de l’actif. Utilisez ensuite l’Outil de rééquilibrage du portefeuille pour comparer la composition actuelle du portefeuille à sa composition originale et voir dans quelle mesure elle s’en est écartée. Vous pourrez alors déterminer les mesures à prendre pour rajuster votre portefeuille afin qu’il soit conforme à votre plan.

Pour ce faire, ouvrez une session sur bmolignedaction.com puis, dans la section Gestion de portefeuille du menu Mon portefeuille, sélectionnez Rééquilibrage du portefeuille.



> TROUVEZ L’ÉQUILIBRE

Un sondage mené auprès des ménages canadiens révèlent que seulement 13 % de leur actif est investi à l’étranger*. En comparaison, nombreuses sont les
grandes caisses de retraite qui réservent une part accrue de leur portefeuille aux titres étrangers. Par exemple, on pouvait lire dans le Globe and Mail du 26
février 2007 que les actions étrangères comptent maintenant pour 35 % des actifs du Régime de pensions du Canada.

C’est à vous de décider quelle importance il faut donner aux placements étrangers dans votre portefeuille pour mieux profiter des occasions de placement et réaliser vos objectifs financiers.

*Source : Rapport sur le bilan des ménages de 2007 d‘Investor Economics

 

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