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Printemps 2009
Les marchés aussi ont leurs sautes d’humeur
Les FNB : des placements qui se distinguent par leur simplicité, leur polyvalence et leurs faibles coûts
Cinq façons de tirer le meilleur parti de votre remboursement d’impôt
BMO Ligne d’action offre maintenant le REEE
Nouvelle webdiffusion - Perspectives économiques : les grandes questions (en anglais)
   
Les marchés aussi ont leurs sautes d’humeur

Les effets du trouble affectif saisonnier sur les actions.

Les marchés peuvent-ils souffrir de dépression comme nous? Étonnamment, la réponse est oui, selon les chercheurs de la Rotman School of Management de l’Université de Toronto.

La professeure Lisa Kramer et ses collègues ont constaté que les replis annuels des marchés à l’échelle mondiale coïncidaient avec l’apparition du trouble affectif saisonnier (TAS), un type de dépression survenant généralement à l’automne et à l’hiver, lorsque la lumière du jour décroît.


Les FNB : des placements qui se distinguent par leur simplicité, leur polyvalence et leurs faibles coûts

Ces temps-ci, de nombreux investisseurs autonomes cherchent à déceler les signes d’une reprise des marchés. Mais il ne suffit pas de déterminer à quel moment revenir sur le marché boursier : le choix des produits de placement importe aussi. C’est ici que les fonds négociés en bourse (FNB) entrent en jeu.

Les investisseurs canadiens commencent à bien connaître les FNB, qui sont offerts depuis les années 1990. Tout comme les fonds d’investissement, les FNB sont des portefeuilles, mais leurs parts se négocient de la même manière que les actions offertes à la Bourse de Toronto ou de New York, ou encore celles composant l’indice NASDAQ ou la moyenne Dow Jones des valeurs industrielles. La plupart des FNB reproduisent le rendement d’un indice boursier ou d’un secteur de l’économie, ce qui les rend comparables aux fonds indiciels.


Cinq façons de tirer le meilleur parti de votre remboursement d’impôt

Bonne nouvelle : vous avez droit à un remboursement d’impôt ! À quoi allez-vous l’utiliser ? Bien sûr, vous pourriez le dépenser. Après tout, il s’agit de votre argent qui vous est rendu. Mais vous pourriez aussi envisager de l’utiliser pour augmenter votre sécurité financière et vous préparer à tirer avantage d’une reprise des marchés. Le 30 avril, date limite pour la production des déclarations de revenus, approche. C’est donc le moment ou jamais de commencer à penser à ce que vous voulez faire avec votre remboursement d’impôt.


BMO Ligne d’action offre maintenant le REEE

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Nouvelle webdiffusion

Pour connaître le point de vue de spécialistes sur la conjoncture économique canadienne, ne manquez pas notre nouvelle webdiffusion : Perspectives économiques : les grandes questions (en anglais)

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Les marchés aussi ont leurs sautes d’humeur

Les effets du trouble affectif saisonnier sur les actions.

par BMO Banque privée Harris

Les marchés peuvent-ils souffrir de dépression comme nous? Étonnamment, la réponse est oui, selon les chercheurs de la Rotman School of Management de l’Université de Toronto.

La professeure Lisa Kramer et ses collègues ont constaté que les replis annuels des marchés à l’échelle mondiale coïncidaient avec l’apparition du trouble affectif saisonnier (TAS), un type de dépression survenant généralement à l’automne et à l’hiver, lorsque la lumière du jour décroît.

L’Exclusif a interrogé la professeure Kramer sur ses observations.

Pourriez-vous expliquer ce que vous avez découvert au sujet des variations d’humeur et des marchés?
Des recherches cliniques approfondies sur le TAS1 ont montré que des millions de personnes sur Terre éprouvaient une plus grande aversion pour le risque quand les jours raccourcissent à l’automne. À mesure que les jours rallongent à l’hiver et au printemps, elles redeviennent plus tolérantes au risque. Notre étude est la première à montrer qu’il existe un lien direct entre le comportement des investisseurs et le TAS.

Comment l'humeur d'un investisseur peut-elle influer sur le comportement des marchés?
Lorsqu'une multitude de personnes deviennent moins tolérantes au risque financier à l'arrivée de l'automne, le goût du risque faiblit globalement sur les marchés et les rendements des titres financiers peuvent s'en ressentir. Nous avons constaté que les rendements boursiers faiblissaient en automne et se redressaient en hiver et au printemps.

Fait intéressant, le phénomène semble plus marqué dans les latitudes extrêmes. Les marchés financiers de pays comme la Suède, par exemple, enregistrent des variations plus prononcées dans leurs rendements saisonniers. Dans l'hémisphère Sud, les saisons sont inversées de six mois par rapport à nous et les tendances saisonnières aussi. Pour les valeurs sûres comme les obligations d'État, on constate une tendance saisonnière opposée : durant les saisons où les titres risqués rapportent beaucoup, les titres d'État enregistrent de faibles rendements. Nous avons tenu compte d'autres facteurs comme le rendement passé et la publicité, et les résultats ont été les mêmes.

En fait, j’avancerais que le fait que tant de crises financières se soient produites en octobre n’est pas le fruit du hasard. Je n’irais pas jusqu’à dire que le TAS provoque des krachs boursiers, mais plutôt que les investisseurs ont tendance à réagir plus négativement aux mauvaises nouvelles économiques à cette période de l’année.

Existe-t-il une relation de cause à effet?
Nous ne pouvons prouver une relation de cause à effet, mais nous pouvons affirmer que les données recueillies sont conformes à nos hypothèses.

En extrapolant, diriez-vous qu’à mesure que la lumière du jour augmente, les gens deviennent plus tolérants au risque et qu’il y a donc plus de chances que les marchés se redressent?
Lorsque la lumière du jour augmente, les gens sont généralement d’humeur plus joviale. Je pense que cela donne de l’entrain au marché. Je ne sais pas si ce phénomène peut entraîner une reprise, mais selon nos recherches, il exerce en tout cas une influence favorable.

Êtes-vous d’accord pour dire que toute reprise du marché est tributaire des grandes questions qui sous-tendent l’économie?
Oui, les paramètres fondamentaux sont essentiels. S’ils ne sont pas bons, il faut s’attendre à ce que la situation actuelle dure encore quelque temps.

Comment les investisseurs devraient-ils utiliser vos résultats de recherche?
Mes recherches montrent que, lorsqu’une crise financière se déclenche à l’automne, elle est exacerbée par notre état émotionnel. Selon des études en psychologie, les personnes souffrant de dépression, notamment le TAS, ressentent une plus grande aversion pour le risque. C’est un élément dont il faut tenir compte; il est toujours préférable d’éviter les décisions trop radicales, mais encore plus lorsqu’on est prédisposé à ressentir une plus grande aversion pour le risque.

Donc, le repli du marché conjugué à la dépression saisonnière exerce une action puissante sur certains investisseurs?

Tout à fait. Il est parfaitement naturel de ressentir de la panique durant une période comme celle que nous traversons. Nous avons tous reçu des conseils sur la diversification des placements, la planification financière et l’importance d’une stratégie à long terme. Malgré tout, quand le marché s’effondre, nous sommes portés à agir impulsivement et l’on nous fait comprendre que ce n’est pas ce qu’il faut faire. Cette réaction est tout à fait naturelle, mais elle ne sert peut-être pas au mieux nos intérêts financiers.

Êtes-vous d’accord avec le fait que les investisseurs dont l’horizon de placement dépasse cinq ans ne devraient pas s’en faire à propos des marchés pour le moment?
Oui, c’est exact. Ceux qui ont la chance d’avoir encore devant eux un certain nombre d’années sur le marché du travail, ou qui n’ont pas besoin de toucher à leurs placements pour l’instant, ne devraient pas paniquer à l’heure actuelle, car il leur reste des années pour récupérer ce qu’ils ont perdu. Le passé montre que ceux qui planifient à long terme sont récompensés.

Les investisseurs gagnent à s’informer. Plus ils connaîtront la finance comportementale2, plus ils comprendront leurs inclinations au moment de prendre des décisions financières.

1 La finance comportementale est l’application de la psychologie à l’économie pour expliquer le comportement des investisseurs et décrire comment il influe sur les cours et les rendements boursiers
2 Santé Ontario http://www.santeontario.com/featuredetails.aspx? Psychology Today http://www.psychologytoday.com/conditions/sad.html

Les articles du présent bulletin constituent une source générale d’information. Ils ne visent pas à fournir des conseils juridiques ou fiscaux ni des con fins. Pour tout conseil juridique ou de placement ou pour toute aide professionnelle, veuillez vous adresser à des professionnels compétents. Le contenu de ce bulletin provient de sources que nous croyons fiables; nous ne pouvons toutefois pas garantir son exactitude. Les points de vue exprimés et les renseignements fournis dans ces articles sont attribuables uniquement aux auteurs.
Les FNB : des placements qui se distinguent par leur simplicité, leur polyvalence et leurs faibles coûts

Ces temps-ci, de nombreux investisseurs cherchent à déceler les signes d’une reprise des marchés. Mais il ne suffit pas de déterminer à quel moment revenir sur le marché boursier : le choix des produits de placement importe aussi. C’est ici que les fonds négociés en bourse (FNB) entrent en jeu.

Les investisseurs canadiens commencent à bien connaître les FNB, qui sont offerts depuis les années 1990. Tout comme les fonds d’investissement, les FNB sont des portefeuilles, mais leurs parts se négocient de la même manière que les actions offertes à la Bourse de Toronto ou de New York, ou encore celles composant l’indice NASDAQ ou la moyenne Dow Jones des valeurs industrielles. La plupart des FNB reproduisent le rendement d’un indice boursier ou d’un secteur de l’économie, ce qui les rend comparables aux fonds indiciels. Toutefois, contrairement à ces derniers, les FNB permettent de saisir les occasions qui se présentent, du fait qu’ils se négocient en cours de séance.

Les FNB sont des produits simples. Leur transparence les rend particulièrement intéressants, surtout si l’on tient compte de leurs frais de gestion, qui représentent parfois moins du quart de ceux associés aux fonds d’investissement. Il est facile d’obtenir le prix des parts, même en cours de séance, et d’acheter ou de vendre rapidement des FNB, moyennant le paiement de frais d’opération. Voilà pourquoi les FNB occupent désormais une place de choix dans la composition des portefeuilles d’investisseurs particuliers, mais aussi de caisses de retraite et d’investisseurs institutionnels. Les FNB se classent parfois parmi les dix principaux placements composant les fonds d’investissement.

La croissance spectaculaire des placements dans les FNB est attribuable aux avantages qu’ils procurent. Durant le second semestre de 2008, l’actif des fonds d’investissement a fondu, mais les FNB ont enregistré des ventes nettes. Leur nombre a donc fortement augmenté, de même que celui des sociétés de placement qui les offrent. Les investisseurs canadiens peuvent désormais choisir parmi 104 FNB cotés à la Bourse de Toronto et offerts principalement par trois grandes sociétés de placement. Un nombre croissant de sociétés de placement ont toutefois déposé des prospectus provisoires en vue d’offrir ces produits : c’est le cas notamment de BMO Groupe financier, qui lancera sept FNB ce printemps.

Approche tactique

La principale question à se poser est la suivante : pourquoi les FNB revêtent-ils une importance particulière en ce moment pour les investisseurs? Les investisseurs qui ne font pas appel aux services d’un conseiller adoptent généralement une approche plus tactique. Bon nombre d’entre eux attendent une reprise de l’économie et envisagent de mettre en œuvre des stratégies visant à tirer parti de la remontée des marchés.

Les FNB peuvent représenter un élément important d’une approche tactique. Par exemple, si un investisseur estime que la première étape d’un retour sur le marché boursier canadien consiste à investir dans les titres de sociétés bien établies versant un dividende, il lui sera facile d’acheter, à prix raisonnable, des parts d’un FNB regroupant les titres de l’indice S&P/TSX 60. Il pourra aussi choisir quelques-uns des titres les plus prometteurs de l’indice S&P/TSX 60 tout en investissant dans un FNB : on parlera alors d’une stratégie de placements « de base et satellites ».

On trouve aussi des FNB qui reproduisent la composition d’indices sectoriels. Ainsi, l’investisseur qui croit que certains secteurs du marché boursier canadien sont sous-évalués, en raison de la crise économique mondiale, peut acheter des parts de FNB correspondant à ces secteurs. Il est facile de suivre l’évolution des prix des parts de tels FNB, même en cours de séance, et leur vente, le cas échéant, est rapide et peu coûteuse. Les clients de BMO Ligne d’action peuvent même avoir recours à certains outils, comme les ordres stop, pour protéger leurs gains et limiter leurs pertes.

Dans un secteur financier caractérisé par la complexité croissante des produits de placement, les FNB se distinguent par leur simplicité, leur transparence, leur polyvalence et leurs faibles coûts. Grâce à eux, l’investisseur autonome peut acheter tous les titres d’un segment du marché, en une seule opération, sans avoir à comparer une foule de fonds et de gestionnaires. Bref, s’il est rare qu’on puisse se féliciter d’avoir vendu ses meilleurs fonds en gestion active, il est judicieux, lorsque la reprise des marchés semble imminente, de miser sur les FNB.
Cinq façons de tirer le meilleur parti de votre remboursement d’impôt

Bonne nouvelle : vous avez droit à un remboursement d’impôt ! À quoi allez-vous l’utiliser ? Bien sûr, vous pourriez le dépenser. Après tout, il s’agit de votre argent qui vous est rendu. Mais vous pourriez aussi envisager de l’utiliser pour augmenter votre sécurité financière et vous préparer à tirer avantage d’une reprise des marchés. Le 30 avril, date limite pour la production des déclarations de revenus, approche. C’est donc le moment ou jamais de commencer à penser à ce que vous voulez faire avec votre remboursement d’impôt.

  1. Cotisation additionnelle à votre REER
    S’il vous reste des droits de cotisation inutilisés, vous pourriez déposer votre remboursement dans votre REER pour 2009. Cotiser le plus tôt possible à son REER dans l’année est la façon la plus efficiente sur le plan fiscal d’utiliser un remboursement d’impôt : l’argent déposé a ainsi plusieurs mois de plus pour fructifier, en report d’impôt, avant la date limite de l’année suivante, en plus de générer une déduction fiscale pour l’année 2009.
    Vous aimeriez connaître les différentes options qui s’offrent à vous pour verser une cotisation complémentaire à votre compte REER? Vous n’avez qu’à ouvrir une session sur notre site et à cliquer sur le lien Retraite du menu Planification.

  2. Cotisation à un compte d’épargne libre d’impôt (CELI)
    Vous pouvez faire fructifier vos économies à l’abri de l’impôt en cotisant à un CELI. Ce compte vous permet d’investir jusqu’à 5 000 $ par année dans des actions, des titres à revenu fixe, des fonds d’investissement ou des CPG. De plus, vous pourrez retirer de l’argent de votre compte pour payer des factures, vous offrir des vacances ou faire une mise de fonds pour l’achat d’un logement, par exemple, sans pénalité fiscale. Vous pouvez aussi utiliser le CELI pour mettre de l’argent de côté en période d’instabilité économique.
    Vous aimeriez connaître les différentes options qui s’offrent à vous pour verser une cotisation à votre CELI? Vous n’avez qu’à ouvrir une session sur notre site et cliquer sur le lien CELI du menu Planification.

  3. Cotisation à un REEE
    Il n’est jamais trop tôt pour commencer à épargner en vue des études de ses enfants. Plus tôt vous commencerez, moins vous aurez à mettre d’argent de côté. Un régime enregistré d’épargne-études (REEE) vous permet d’épargner et d’investir en report d’impôt jusqu’à ce que vous retiriez de l’argent pour payer les études postsecondaires de vos enfants. Mieux encore, vous pouvez recevoir des cotisations supplémentaires pouvant s’élever jusqu’à une limite cumulative de 7 200 $ par enfant admissible dans le cadre du programme de la Subvention canadienne pour l’épargne-études.
    Pour en savoir plus à ce sujet, ouvrez une session sur notre site et cliquez sur le lien Centre REEE du menu Planification.

  4. Remboursement du solde des cartes de crédit
    Les taux d’intérêt annuels des cartes de crédit variant de 10 % à 25 %, c’est une bonne idée d’utiliser votre remboursement d’impôt pour payer cette dette. En effet, moins le solde de vos cartes sera élevé, moins vous paierez en intérêts. Selon le taux d’intérêt appliqué à vos cartes, cette mesure vous permettrait d’économiser de 10 % à 25 % d’intérêts sur le montant que vous aurez réussi à rembourser. En utilisant votre remboursement d’impôt pour réduire le solde de vos cartes de 1 000 $, par exemple, vous économiserez beaucoup d’argent en frais plus tard.

  5. Versement hypothécaire supplémentaire
    Si votre prêt hypothécaire vous permet de faire des remboursements anticipés sans pénalité, le fait de rembourser une plus grande partie du capital vous ferait économiser des milliers de dollars en intérêts. Chacune de ces options vous permettra de réaliser des économies d’impôt ou d’intérêts dépassant largement le montant de votre remboursement, de sorte que vous conserverez une plus grande partie de votre argent durement gagné.

BMO Ligne d’action offre maintenant le REEE

Gérez vous-même votre portefeuille REEE

Vous vous occupez déjà vous-même de vos placements avec BMO Ligne d’action. Vous pouvez maintenant gérer aussi les placements que vous faites en vue des études de vos enfants, puisque nous avons ajouté les comptes REEE à notre gamme de produits diversifiée. Grâce au Centre REEE et au relevé détaillé de votre compte REEE, vous pouvez faire le point en tout temps sur vos finances familiales et les administrer facilement, au même endroit.

Regrouper, c’est économiser

Vous pouvez réaliser d’importantes économies en regroupant vos avoirs. Les clients qui ont un actif de plus de 100 000 $ ou qui participent au Programme cinq étoiles ou au Programme pour les investisseurs actifs paient des frais fixes de seulement 9,95 $ par opération. Pour avoir le plein contrôle de votre portefeuille de placements, il est bon de regrouper vos placements auprès de BMO Ligne d’action.

Transférez votre compte REEE existant ou ouvrez-en un nouveau dès aujourd’hui. Vous n’avez pas de montant minimal à transférer. Il vous suffit d’ouvrir une session sur notre site et de cliquer sur Centre REEE dans le menu Planification, puis de remplir le formulaire de transfert dans l’onglet Formulaires. Vous trouverez également dans cette section un calculateur de REEE, une foire aux questions et différents articles qui pourront vous aider.

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Pour connaître le point de vue de spécialistes sur la conjoncture économique canadienne, ne manquez pas notre nouvelle webdiffusion : Perspectives économiques : les grandes questions (en anglais).

Consultez la section Webdiffusions du site bmolignedaction.com pour écouter les plus récentes webdiffusions.


> TROUVEZ L’ÉQUILIBRE

Un sondage mené auprès des ménages canadiens révèlent que seulement 13 % de leur actif est investi à l’étranger*. En comparaison, nombreuses sont les
grandes caisses de retraite qui réservent une part accrue de leur portefeuille aux titres étrangers. Par exemple, on pouvait lire dans le Globe and Mail du 26
février 2007 que les actions étrangères comptent maintenant pour 35 % des actifs du Régime de pensions du Canada.

C’est à vous de décider quelle importance il faut donner aux placements étrangers dans votre portefeuille pour mieux profiter des occasions de placement et réaliser vos objectifs financiers.

*Source : Rapport sur le bilan des ménages de 2007 d‘Investor Economics

 

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