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Le bon côté d’un huard fort
Le bon côté d’un huard fort

Le dollar canadien ne pourra peut-être pas se maintenir indéfiniment au niveau du dollar américain, mais le franchissement du seuil de la parité en septembre dernier a sans doute marqué de façon durable le comportement des consommateurs et des entreprises. Du côté des consommateurs, la situation a suscité des comparaisons de prix entre les deux pays et des excursions dans les magasins de l’autre pays, un allongement des files d’attente aux postes frontières et une augmentation des livraisons de colis transfrontière. Sous la pression, les détaillants canadiens ont réduit leurs prix, à tel point que les coûts des voitures neuves, des publications et des vêtements ont subi leurs plus fortes baisses en pourcentage depuis plus de 50 ans.


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Le bon côté d’un huard fort

par Michael Gregory, CFA

Le bon côté d’un huard fortLe dollar canadien ne pourra peut-être pas se maintenir indéfiniment au niveau du dollar américain, mais le franchissement du seuil de la parité en septembre dernier a sans doute marqué de façon durable le comportement des consommateurs et des entreprises. Du côté des consommateurs, la situation a suscité des comparaisons de prix entre les deux pays et des excursions dans les magasins de l’autre pays, un allongement des files d’attente aux postes frontières et une augmentation des livraisons de colis transfrontière. Sous la pression, les détaillants canadiens ont réduit leurs prix, à tel point que les coûts des voitures neuves, des publications et des vêtements ont subi leurs plus fortes baisses en pourcentage depuis plus de 50 ans.

Du côté des entreprises, pour celles qui sont en concurrence avec les produits importés comme pour celles qui exportent, habituées à une moindre valeur d’échange du huard par rapport au billet vert, la parité a constitué un choc brutal. Tout comme le comportement des consommateurs semble s’être modifié de façon non linéaire sous l’effet de la parité, les méthodes des entreprises sont en voie de se transformer à maints égards, et les entreprises qui optent résolument pour le changement vont vraisemblablement procéder à des restructurations.

L’économie canadienne a déjà opéré des rajustements face au mouvement d’appréciation pluriannuel du huard. Les exportations réelles ont fléchi, alors que les importations ont progressé, si bien que les exportations nettes réelles sont passées d’un écart positif record au début de 2002 à un écart négatif record à la fin de 2007. Une telle variation représente plus de 13 % du PIB et environ quatre années de croissance économique ininterrompue. Toutefois, la ponction sur la croissance du PIB a été occultée par le fait que les termes de l’échange pour le Canada ont atteint des niveaux records sous l’effet de l’enchérissement des produits de base, niveaux qui se sont traduits par un accroissement du revenu disponible pour les dépenses intérieures.

D’autres rajustements sont à prévoir. Depuis le premier trimestre de 2002, les coûts unitaires de la main-d’œuvre ont progressé plus rapidement au Canada qu’aux États-Unis, pour atteindre au total 16,5 % contre 9,6 % au quatrième trimestre de 2007, un écart imputable principalement à une moindre croissance de la productivité. En dollars américains, les coûts canadiens ont explosé de 89 % ces dernières années sous l’impulsion du huard.

Cette inflation a plus qu’annulé l’écart de coût favorable de 28 % qui s’était constitué pendant la décennie précédente, alors que notre dollar s’était déprécié par rapport aux sommets atteints au début des années 1990, ce qui avait accru la nécessité pour les entreprises canadiennes de rehausser leur productivité, particulièrement par un relèvement du ratio capital/main-d’œuvre.

Pendant la plus grande partie des trois dernières décennies, les entreprises canadiennes n’ont pas suivi les entreprises américaines sur le plan de l’investissement en matériel et outillage (en pourcentage du PIB). La dépréciation constante du huard n’était pas de nature à encourager l’investissement à des fins d’accroissement de la productivité. Soulignons que les entreprises canadiennes ont accru considérablement leurs dépenses d’investissement pendant la seconde moitié des années 1980 pour combler l’écart par rapport aux entreprises américaines, s’ajustant ainsi au mouvement d’appréciation pluriannuel du dollar canadien et, bien entendu, à l’Accord de libre-échange entre le Canada et les États-Unis. La dernière fois que les entreprises canadiennes avaient investi relativement plus en matériel et outillage avait été aux alentours de 1976, soit la dernière fois que le dollar canadien avait atteint la parité. Tout compte fait, les entreprises canadiennes semblent en mesure de relever le défi, avec des bilans faisant ressortir des chiffres proches de records vieux de plusieurs générations.

L’augmentation du ratio capital/main-d’œuvre se fera toutefois au détriment de la main-d’œuvre. Des compressions de personnel, en effet, viendront s’ajouter aux pertes d’emplois causées par les fermetures d’usines et d’autres entreprises. Depuis le chiffre record de 2,3 millions d’emplois manufacturiers atteint fin 2002, notre économie en a vu se volatiliser 375 000. Il ne serait pas étonnant d’assister à la perte de 300 000 autres postes au cours des prochaines années.

Conclusion – La force du dollar canadien va encore causer des dégâts économiques, mais elle pourrait aussi susciter un gain de productivité important, avec les avantages que cela représente à long terme. Rappelons que la force record du dollar américain pondéré par les échanges internationaux, au milieu des années 1980, a suscité un formidable essor de la productivité américaine pendant les années 1990. La même chose pourrait se produire au Canada.

Michael Gregory est directeur général et économiste principal chez BMO Marchés des capitaux.


L’assurance vie : mythes et réalités

L’assurance vie : mythes et réalitésVous avez mis en place un plan financier, mais avez-vous tenu compte du rôle que peut jouer une assurance vie dans la sécurité de votre avenir? Des idées fausses sur l’assurance empêchent les gens d’en comprendre la valeur pour l’ensemble de leur situation financière. Ces mythes vous empêchent-ils de vous procurer la protection dont vous avez besoin pour atteindre vos objectifs financiers?

J’ai une protection suffisante.
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Nous espérons tous pouvoir profiter de notre retraite, mais des imprévus peuvent survenir. Vous ne vous assurez pas pour ce qui pourrait arriver, mais pour protéger votre famille et votre actif dans le cas où le pire des scénarios se produirait. Si vous êtes célibataire, vous devez tout de même avoir suffisamment d’assurance pour couvrir les dernières dépenses et protéger votre actif.

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