> Vents
contraires et turbulences – Perspectives
pour 2007
Par Sherry Cooper, Ph.D. |
Le Canada et les États-Unis font face à des vents debout économiques, qui créent des turbulences sur les marchés financiers des deux côtés de la frontière, et il n’y a pas d’accalmie en vue.
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> Tous les portefeuilles modèles Heavy Hitter ont enregistré des résultats positifs en 2006 Par Ranga Chand |
Au cours d’une année où les marchés financiers ont été très volatils et ont mis à l’épreuve la patience des investisseurs, je suis heureux de vous présenter notre performance annuelle des portefeuilles modèles Sélect, indiciels et fiscalement efficients Heavy Hitter. Ces portefeuilles sont proposés exclusivement aux clients de BMO Ligne d’action et ont tous enregistré des rendements réels positifs au cours de la période de 12 mois terminée le 30 septembre 2006. Dans l’ensemble, les rendements des catégories de portefeuilles modèles Sélect, indiciels et fiscalement efficients ont varié de 10,6 % pour le portefeuille indiciel axé sur la croissance dynamique, composé entièrement d’actions, à 2,1 % pour le portefeuille Sélect axé sur la préservation du capital, composé entièrement de titres à revenu fixe.
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> Choisissez le mode de cotisation REER qui vous convient |
Cette année, vous pouvez cotiser rapidement et de multiples façons à votre compte REER de BMO Ligne d’action.
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> Les avantages de la gestion du risque |
Les CPG liés aux marchés financiers peuvent procurer des rendements supérieurs à ceux qu’offrent habituellement les placements visant la protection du capital.
Les CPG liés aux marchés financiers existent depuis le début des années 1990. Il faudra toutefois attendre l’éclatement de la bulle techno, à l’aube des années 2000, pour voir grandir leur popularité. Les investisseurs, soucieux de protéger leurs portefeuilles contre la volatilité des marchés boursiers, cherchaient alors des placements susceptibles d’offrir des rendements comparables à ceux des actions, sans le risque qui y est normalement associé.
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> Vents
contraires et turbulences – Perspectives
pour 2007
Par Sherry Cooper, Ph.D.
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Le
Canada et les États-Unis font face à des vents contraires économiques,
qui créent des turbulences sur les marchés financiers des deux côtés
de la frontière, et il n’y a pas d’accalmie en vue.
Pour l’économie américaine, il s’agit du logement. Les ventes de logements neufs et existants accusent maintenant un recul de plus de 10 % comparativement au niveau d’il y a un an, aussi le stock de logements invendus a-t-il atteint son niveau le plus élevé en plus d’une décennie. Par ailleurs, on constate une baisse des prix des nouveaux logements et des logements existants. Le premier coup de vent contraire a réduit les investissements résidentiels, amputant la croissance du PIB américain de 0,7 % au deuxième trimestre, pour la ramener à 2,6 % en rythme annualisé.
Le second coup de vent n’a pas encore frappé. Le fléchissement des ventes de logements et de l'activité dans le secteur de la construction devrait se traduire par une baisse des ventes de meubles et d’électroménagers, ainsi que par des mises à pied dans la construction et l’immobilier. Entre-temps, les emprunts sur la valeur nette des logements ont diminué après avoir soutenu tant les ventes de logements que les dépenses de consommation en général depuis des années.
Toutefois, on observe certains facteurs compensatoires. La baisse des prix de l’énergie pourrait donner un coup de pouce aux dépenses des consommateurs juste à temps pour la saison de magasinage des Fêtes, et les dépenses d’investissement des sociétés devraient se maintenir, car ces dernières affichent leurs meilleurs bilans depuis longtemps. À notre avis, l’économie américaine devrait croître d’environ 2,5 % d’ici le printemps prochain, juste avant que la Fed décrète deux baisses de taux de 25 points de base chacune.
La pause actuelle de la Fed devrait persister pendant près d’un an malgré les difficultés du secteur du logement, car la banque centrale américaine surveille de près les pressions persistantes sur les prix. La mesure de l’inflation privilégiée par la Fed, soit l’indice de base des dépenses personnelles de consommation, affiche un sommet en 11 ans de 2,5 % en rythme annuel (au-delà de la limite de 2 % de la « zone de sécurité » de la Fed) et des indicateurs avancés importants tels que les coûts unitaires de la main-d’œuvre s’accélèrent. Le marché obligataire américain a amorcé une reprise quand la Fed a mis fin aux hausses de taux d’intérêt à la fin de juin, mais rend maintenant une partie de ses gains, car l'inflation se révèle résistante. Entre-temps, les marchés boursiers américains ont été alimentés par la baisse des prix de l’énergie et la perspective d’un atterrissage en douceur de l’économie américaine. Les grands indices boursiers américains ont récemment atteint des sommets records ou inédits depuis plusieurs années. Quand le vent debout du secteur du logement frappera de plein fouet au début de l’année prochaine, les taux obligataires américains devraient baisser progressivement, mais les craintes concernant la croissance économique pourraient peser plus lourdement sur les actions aux États-Unis.
Quant à l’économie canadienne, le vent contraire est la baisse
des exportations nettes (exportations
moins importations) résultant
de la vigueur du dollar canadien et du
ralentissement de l’économie
américaine. La balance commerciale des biens et services, rajustée
pour tenir compte de l’évolution des prix, est passée d’un surplus
record au premier trimestre de 2002 (avant
l’explosion du huard) à un
déficit record au deuxième trimestre de 2006. En proportion du PIB,
cela représente une variation de près de 9 %, un fort vent contraire
de longue durée. Au deuxième trimestre 2006, la détérioration des
exportations nettes a amputé de 3,4 % la croissance du PIB canadien,
la ramenant à un taux annuel de 2,0 % seulement.
Bien que les prix de certains produits de base baissent, ce qui annonce une période de contre-performance (comparativement aux États-Unis) pour le dollar canadien et le TSX, les effets persistants de l’appréciation passée du huard et le ralentissement économique aux États-Unis alimenteront les vents contraires pour l’économie canadienne. Là encore, on note un facteur compensatoire, soit la bonne croissance de la demande intérieure. Comparativement à nos voisins du Sud, la combinaison des taux d’intérêt bas et des solides données de l’emploi ont continué à soutenir les dépenses des consommateurs et le secteur de l’habitation, tandis que l’explosion des prix des produits de base a contribué aux bénéfices des sociétés dans ce secteur. La meilleure situation budgétaire du Canada lui donne aussi une plus grande marge de manœuvre pour baisser les impôts et augmenter les dépenses.
La Banque du Canada a été plus prudente que la Fed depuis que les deux banques centrales ont commencé à resserrer leur politique en 2004. La Banque tient compte des effets de la baisse des exportations nettes et surveille de près l’asymétrie marquée entre les régions et les secteurs sur le plan de la performance économique et de l’inflation. Les taux d’intérêt canadiens sont bien en dessous des taux américains et devraient le demeurer grâce à une inflation plus basse et aux surplus tant budgétaire que du compte courant. À notre avis, la Banque devrait emboîter le pas aux mesures de réduction des taux de la Fed, en particulier si la croissance du PIB canadien semble devoir languir autour de 2 %.
Nous prévoyons que les économies canadienne et américaine connaîtront un atterrissage en douceur en 2007, à mesure que leurs vents debout respectifs s’apaiseront. Plus tard au cours de l’année, l’amélioration des perspectives économiques devrait être favorable aux marchés boursiers des deux côtés du 45e parallèle, mais l’absence d’un ralentissement économique plus prononcé et l’assouplissement additionnel de la politique monétaire des banques centrales compliqueront la vie aux obligations. Néanmoins, les taux devraient demeurer en dessous de leurs sommets cycliques récents.
Sherry Cooper, Ph.D. est stratège en économie mondiale et vice-présidente à la direction, BMO Groupe financier et économiste en chef, BMO Nesbitt Burns.
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> Tous les portefeuilles modèles Heavy Hitter ont enregistré des résultats positifs en 2006 Par Ranga Chand |
Au cours d’une année où les marchés financiers ont été très volatils
et ont mis à l’épreuve la patience des investisseurs, je suis heureux
de vous présenter notre performance annuelle des portefeuilles modèles
Sélect, indiciels et fiscalement efficients Heavy HitterMD*.
Ces portefeuilles sont proposés exclusivement aux clients de BMO
Ligne d’action et
ont tous enregistré des rendements réels positifs au cours de la
période de 12 mois terminée le 30 septembre 2006. Dans l’ensemble,
les rendements des catégories de portefeuilles modèles Sélect, indiciels
et fiscalement efficients ont varié de 10,6 % pour
le portefeuille indiciel axé sur la croissance dynamique, composé entièrement
d’actions, à 2,1
% pour le portefeuille Sélect axé sur la préservation du capital,
composé entièrement de titres à revenu fixe.
Les marchés ont été ballotés par les nombreuses préoccupations des investisseurs concernant les prix élevés de l’énergie, la hausse des taux d’intérêt, le ralentissement de la croissance économique et la tendance incertaine de l’inflation. Sur le plan géopolitique, le conflit persistant au Moyen Orient et ses conséquences pour l’économie mondiale continuent à alarmer les investisseurs. Le mois de mai 2006 a été particulièrement difficile pour les marchés boursiers partout dans le monde, et les marchés émergents en particulier ont enregistré des pertes importantes, comme en témoigne l’indice MSCI Marchés émergents (en $ CA), qui a plongé de 12,0 %. En Amérique du Nord, les indices composés S&P 500 et S&P/TSX ont aussi inscrit des rendements négatifs respectifs de -4,4 % et -3,6 % en mai. Le marché obligataire n’a pas été à l’abri et a subi des fluctuations importantes. Par exemple, les rendements mensuels de l’indice obligataire universel Scotia Capitaux ont varié de -1,0 % en octobre 2005 à 2,1 % en juillet 2006.
Il peut être difficile de garder son calme dans les périodes de volatilité du marché mais, comme en font foi les rendements des portefeuilles modèles Heavy Hitter, un portefeuille diversifié résiste mieux quand l’économie va mal. Nous examinerons ici le rendement des portefeuilles modèles Sélect Heavy Hitter.
Portefeuilles modèles Sélect Heavy Hitter – Analyse du rendement annuel
Il ressort de notre analyse annuelle des portefeuilles modèles Sélect Heavy Hitter que les rendements ont varié de 2,1 % pour le portefeuille axé sur la préservation du capital, entièrement composé de revenu fixe, à 9,3 % pour le portefeuille axé sur la croissance dynamique, entièrement composé d’actions, comme l’indique le tableau 1. À l’exception du portefeuille de préservation du capital, les portefeuilles ont tous surclassé l’indice des CPG à un an et produit des rendements réels positifs (dépassant l’inflation, selon l’indice des prix à la consommation) au cours de chacune des dernières périodes de un, trois et cinq ans. Le portefeuille axé sur la préservation du capital a surclassé ces indices au cours des périodes de trois et cinq ans et dégagé un rendement comparable au taux d’inflation (2,1 %) au cours de la période d’un an. Les rendements des placements pour tous les portefeuilles figurent au tableau 1.
Il y a lieu de noter qu’au cours de la période de 12 mois terminée le 30 septembre 2006, pendant laquelle un fonds commun de placement sur dix a enregistré des rendements négatifs, tous les fonds Heavy Hitter sous-jacents aux portefeuilles modèles Sélect ont enregistré des rendements positifs. Ces rendements ont varié de 1,6 % pour le Fonds hypothécaire TD à 15,0 % pour le Fonds Trimark, un fonds d’actions mondiales.
Compte tenu du solide rendement de l’ensemble des marchés boursiers, les portefeuilles ayant une importante composante en actions ont enregistré les rendements les plus élevés. Comme l’illustre le tableau 2, le rendement mensuel moyen des portefeuilles modèles Sélect a varié de 0,2 % pour le portefeuille axé sur la préservation du capital à 0,8 % pour le portefeuille axé sur la croissance dynamique. Toutefois, la comparaison des meilleurs et des pires rendements mensuels montre également la volatilité croissante des portefeuilles fortement pondérés en actions. Par exemple, au cours des 12 derniers mois, le meilleur rendement mensuel du portefeuille axé sur la croissance dynamique a été de 4,5 %, et son pire rendement mensuel 4,2 %, pour un écart de 8,7 %. Par comparaison, l’écart n’a été que de 1,9 % pour le portefeuille axé sur la préservation du capital.
Pour plus de renseignements sur les portefeuilles modèles Heavy Hitter, ouvrez une session sur le site bmolignedaction.com et consultez la section Portefeuilles modèles du menu Recherche. Pour acheter des parts d’un portefeuille modèle Heavy Hitter, consultez la section Portefeuilles modèles du menu Transactions.
Ranga
Chand est considéré comme l’un des
meilleurs économistes
et analystes en matière de fonds d’investissement
au Canada. Il est aussi président fondateur de la société d’experts
conseils Chand, Carmichael & Company Limited.
* Les fonds d’investissement peuvent comporter des frais
de courtage, des commissions de suivi,
des frais de gestion et d’autres
dépenses. Avant d’investir, veuillez lire le prospectus
des fonds d’investissement composant les portefeuilles modèles.
Les taux de rendement indiqués sont les rendements globaux
annuels composés dégagés antérieurement
par les fonds et ils tiennent compte
des variations de la valeur des parts et du réinvestissement
de toutes les distributions. Ils ne tiennent pas compte des frais
de souscription, de rachat,
de placement ou d’autres frais ou impôts payables par
le porteur de parts, qui auraient pour
effet de réduire le
rendement. Les parts de fonds d’investissement ne sont pas
garanties, leur valeur fluctue fréquemment, et leur rendement
passé n’est pas garant de leur rendement futur.
Lisez les commentaires sur le rendement
annuel des :
Portefeuilles
modèles fonds indiciels Heavy
Hitter
Portefeuilles modèles fiscalement efficient Heavy Hitter
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> Choisissez le mode de cotisation REER qui vous convient
|
Cette année, vous pouvez cotiser rapidement et de multiples façons à votre compte REER de BMO Ligne d’action.
1) Utilisation des Services bancaires en ligne ou par téléphone
Cotiser à votre REER est aussi simple que payer vos factures en ligne. Il vous suffit d’utiliser les Services bancaires en ligne ou par téléphone pour ajouter BMO Ligne d’action à votre liste de fournisseurs. Vous pourrez ensuite cotiser autant et aussi souvent que vous voudrez à votre REER.
2) Participation à un programme de dépôt automatique
Participer à un programme de dépôt automatique offre de nombreux avantages. D’abord, vous n’avez pas à vous précipiter pour cotiser à votre REER avant la date limite. Ensuite, vous établissez le calendrier de versement qui vous convient. Vous tirez ainsi parti des achats périodiques par sommes fixes, sans avoir à deviner quel serait le moment opportun pour faire votre cotisation, compte tenu de l’évolution du marché.
3) Transfert de comptes REER d’une autre institution financière
En regroupant vos placements auprès de BMO Ligne d’action, vous en simplifiez la gestion et obtenez en un clin d’œil un aperçu de l’ensemble de votre portefeuille. Pour télécharger la formule de transfert, consultez le site bmolignedaction.com.
4) Dépôt de liquidités, de chèques et de titres auprès d’une succursale de BMO Banque de Montréal
Vous pouvez faire un dépôt en vous rendant à votre succursale de BMO Banque de Montréal. Pour déposer des titres dans votre compte BMO Ligne d’action, il vous suffit de faire parvenir la formule Procuration pour le transfert d’actions ou d’obligations dûment remplie à BMO Ligne d’action ou à votre succursale de BMO Banque de Montréal, en y joignant vos certificats endossés.
5) Demande d’un prêt REER
Si vous êtes à court de liquidités, vous pouvez présenter en ligne une demande de prêt REER. Pour faire votre demande, consultez le Centre REER du menu Centre éducatif, sur le site bmolignedaction.com.
Vous pouvez commander tous les formulaires ci-dessus en ligne.
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> Les avantages de la gestion du risque |
Les CPG liés aux marchés financiers peuvent procurer des rendements supérieurs à ceux qu’offrent habituellement les placements visant la protection du capital.
Les CPG liés aux marchés financiers existent depuis le début des années 1990. Il faudra toutefois attendre l’éclatement de la bulle techno, à l’aube des années 2000, pour voir grandir leur popularité. Les investisseurs, soucieux de protéger leurs portefeuilles contre la volatilité des marchés boursiers, cherchaient alors des placements susceptibles d’offrir des rendements comparables à ceux des actions, sans le risque qui y est normalement associé.
Potentiel de croissance des CPG liés aux marchés financiers
Les CPG liés aux marchés financiers peuvent procurer des rendements supérieurs à ceux des CPG traditionnels, tout en étant aussi sûrs, puisque le capital investi est garanti.
Ces produits de placement conviennent aux investisseurs privilégiant la sécurité, qui cherchent à faire fructifier leurs avoirs tout en réduisant le risque de pertes. Le potentiel de croissance d’un CPG lié aux marchés financiers est habituellement fonction du rendement d’un ou de plusieurs titres, fonds ou indices boursiers. Peu de placements offerts aux investisseurs particuliers présentent un profil risque/rendement aussi avantageux.
La gestion du risque au moment où vous en avez le plus besoin
Si vous approchez de la retraite, vous avez sans doute conscience de l’importance de diminuer le risque de votre portefeuille. Comme vos placements constitueront peut être votre principale source de revenu et que vous vivrez probablement plus vieux que les générations précédentes, il est crucial que vous ayez suffisamment d’argent pour bien profiter de ces années.
Les taux d’intérêt frôlent actuellement leurs plus bas niveaux de tous les temps. Par conséquent, vous devez diversifier votre portefeuille en investissant dans des produits susceptibles de vous procurer des rendements plus élevés. Toutefois, si vous êtes sur le point de prendre votre retraite, vous préférerez sans doute éviter d’investir dans les titres risqués qui dégagent généralement des rendements élevés. En effet, des rendements négatifs pourraient entamer la valeur de votre portefeuille et l’empêcher de vous procurer le revenu nécessaire pour conserver votre train de vie.
Les CPG liés aux marchés financiers, qui offrent un potentiel de rendement élevé tout en garantissant le capital investi, pourraient répondre à vos besoins.
L’importance de la diversification
Les CPG liés aux marchés financiers ne conviennent pas qu’aux investisseurs retraités ou qui approchent de la retraite. Leur profil risque/rendement avantageux en font un placement de choix pour les investisseurs soucieux de bien diversifier leurs portefeuilles.
En répartissant vos avoirs entre diverses catégories d’actif, vous pouvez atténuer les répercussions des rendements négatifs d’une catégorie sur l’ensemble du portefeuille. Cette stratégie donne de bons résultats lorsque les catégories d’actif évoluent indépendamment l’une de l’autre. Par contre, si les catégories d’actif évoluent à l’unisson (comme c’est le cas depuis quelques années), les avantages de la diversification sont réduits à néant en cas de baisse des marchés. Les CPG liés aux marchés financiers vous prémunissent contre ces baisses au moment où vous en avez le plus besoin. En outre, ils vous aident à tirer parti des hausses des marchés.
Les CPG liés aux marchés financiers sont offerts par BMO
Placements à terme sous le nom de CPG
Progressifs BMO MC.
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> Portefeuilles
modèles indiciels Heavy Hitter - Analyse
du rendement annuel
Par Ranga Chand |
Il ressort de notre analyse annuelle des portefeuilles
modèles indiciels Heavy Hitter que les rendements ont
varié de 3,4 % pour le portefeuille axé sur la préservation
du capital à 10,6 % pour le portefeuille axé sur la
croissance dynamique, entièrement composé d'actions.
Les sept portefeuilles ont tous surclassé l'indice des CPG à
un an et produit des rendements réels positifs
(dépassant l'inflation, selon l'indice des prix à la
consommation) au cours de chacune des
dernières
périodes de un, trois et cinq ans. Les rendements des
placements pour tous les portefeuilles
figurent au
tableau 1.
Il y a lieu de noter qu'au
cours de la période de 12 mois
terminée le 30 septembre 2006, pendant laquelle un
fonds commun de placement sur dix a enregistré des
rendements négatifs, tous les fonds Heavy Hitter
sous-jacents aux portefeuilles modèles indiciels ont
enregistré des rendements positifs. Les rendements
ont varié de 2,1 % pour le Fonds indiciel d'obligations
canadiennes à court terme CIBC à 15,1 % pour le Fonds
indiciel marchés émergents CIBC.
Compte tenu du solide
rendement de l'ensemble des
marchés boursiers, les portefeuilles ayant une importante
composante en actions ont enregistré les rendements les
plus élevés. Comme l'illustre le tableau 2, le rendement
mensuel moyen des portefeuilles modèles indiciels a
varié de 0,3 % pour le portefeuille de préservation
du
capital à 0,9 % pour le portefeuille axé sur la croissance
dynamique. Toutefois, la comparaison
des meilleurs et
des pires rendements mensuels montre également la
volatilité croissante des portefeuilles fortement pondérés
en actions. Par exemple, au cours des
12 derniers mois,
le meilleur rendement mensuel du portefeuille
axé sur
la croissance dynamique a été de 5,7 %, et son pire
rendement mensuel 6,7 %, pour un écart de 12,4 %.
Par comparaison, l'écart n'a été que de 3,0
% pour le
portefeuille ax é sur la préservation du capital.
Lisez les commentaires sur le rendement
annuel des :
Portefeuilles
modèles fonds Sélect Heavy Hitter
Portefeuilles modèles fiscalement efficient Heavy Hitter
|
> Portefeuilles
modèles fiscalement efficients
Heavy Hitter - Analyse du rendement
annuel
Par Ranga Chand |
Il ressort de notre analyse
annuelle des portefeuilles
modèles fiscalement efficients Heavy Hitter que les
rendements ont varié de 2,5 % pour le portefeuille axé sur
la préservation du capital à 6,6
% pour le portefeuille axé sur la croissance dynamique, entièrement
composé
d'actions. Les sept portefeuilles ont
tous surclassé l'indice
des CPG à un an et produit des rendements réels positifs
(dépassant l'inflation, selon l'indice des prix à la
consommation)
au cours de chacune des dernières périodes de un,
trois et
cinq ans. Les rendements des placements
pour tous les
portefeuilles figurent au tableau 1.
Il
y a lieu de noter qu'au cours de la période de 12 mois
terminée le 30 septembre 2006, pendant laquelle un fonds
commun de placement sur dix a enregistré des rendements
négatifs, tous les fonds Heavy Hitter sous-jacents aux
portefeuilles modèles fiscalement efficients ont enregistré des
rendements positifs. Les rendements ont varié de 0,7 %
pour le Fonds d'obligations à rendement réel TD à 8,6
% pour
le Fonds de dividendes BMO.
Compte tenu
du solide rendement de l'ensemble des
marchés
boursiers, les portefeuilles ayant une
importante composante
en actions ont enregistré les rendements les plus élevés.
Comme l'illustre le tableau 2, le rendement
mensuel moyen des
portefeuilles modèles fiscalement efficients a varié de
0,2 %
pour le portefeuille axé sur la préservation du capital à 0,6
%
pour le portefeuille axé sur la croissance dynamique. Toutefois,
la comparaison des meilleurs et des pires
rendements mensuels
montre également la volatilité croissante des portefeuilles
fortement pondérés en actions. Par exemple, au cours
des
12 derniers mois, le meilleur rendement
mensuel du portefeuille
axé sur la croissance dynamique a été de 2,9
%, et son pire
rendement mensuel 3,3 %, pour un écart de 6,2 %.
Par comparaison, l'écart n'a été que de 3,4
% pour le portefeuille
ax é sur la préservation du capital.
Lisez les commentaires sur le rendement
annuel des :
Portefeuilles
modèles fonds Sélect Heavy
Hitter
Portefeuilles
modèles fonds indiciels Heavy
Hitter
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