Tout comme votre domicile, votre portefeuille de placements a besoin d’un entretien régulier pour demeurer en bon état. Maintenant que la saison des REER est terminée, le moment est bien choisi pour faire un examen de votre portefeuille et vous assurer que vos placements sont toujours conformes à vos objectifs. Voyons quelques stratégies judicieuses pour procéder à un examen printanier de votre portefeuille.

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Tout comme votre domicile, votre portefeuille de placements a besoin d’un entretien régulier pour demeurer en bon état. Maintenant que la saison des REER est terminée, le moment est bien choisi pour faire un examen de votre portefeuille et vous assurer que vos placements sont toujours conformes à vos objectifs. Voyons quelques stratégies judicieuses pour procéder à un examen printanier de votre portefeuille.

Départissez-vous de vos placements décevants. Trop souvent, nous conservons des placements perdants, même en sachant qu’il est grand temps de les vendre. Dans bien des cas, il s’agit d’une décision motivée par des émotions ou le déni : nous sommes souvent réticents à reconnaître que nous avons fait un mauvais choix. Or, conserver un placement décevant, c’est adopter un comportement d’évitement. Nous repoussons le moment de vendre un placement et d’en restreindre les pertes dans l’espoir qu’il se redressera, nous confortant ainsi dans notre décision.

Cette façon de penser est risquée : elle peut nous amener à conserver des placements décevants, longtemps après que le moment de les vendre est passé. Supposez que vous avez vendu un tel placement et que le produit de sa vente est aujourd’hui dans votre compte. Rachèteriez-vous ce placement? Si ce n’est pas le cas, vous devez convenir qu’il est temps de le vendre. Ne tardez pas à le faire. Vous pourriez même en tirer certains avantages. Les pertes en capital découlant de la vente de placements perdants peuvent servir à compenser les gains en capital de vos placements plus fructueux. Vous avez ainsi l’occasion de faire un bon usage de vos pertes pour réduire les impôts que vous devez payer sur les gains de vos autres placements.

Revoyez la répartition cible de votre actif. De nombreux investisseurs choisissent un modèle de répartition de l’actif fondé sur leurs objectifs et leur horizon de placement. Mais, tout au long de l’année, la pondération des actions par rapport à celle des titres à revenu fixe en portefeuille peut changer.

En fait, les rendements relatifs des différentes catégories d’actif peuvent modifier la composition initiale d’un portefeuille. Ainsi, un portefeuille dont la pondération cible en actions est de 60 %, pourrait en être composé à 70 % si les marchés boursiers se redressaient. Par ailleurs, en raison d’étapes particulières de votre vie, vous pourriez avoir à modifier votre plan de placement global. Les horizons de placement, par exemple, peuvent nécessiter une plus forte pondération en titres à revenu fixe à mesure que vous vous approchez de vos objectifs à long terme. Consultez l’Outil de répartition de l’actif pour déterminer si la répartition actuelle de votre actif est conforme à vos objectifs.

Un autre facteur pouvant avoir une incidence sur la répartition de l’actif est une cotisation à un REER faite en espèces pour être investie plus tard. Cette situation se produit souvent lorsque les investisseurs veulent respecter le délai de cotisation à leur REER, mais ne savent pas pour quel placement opter. Ils font alors une cotisation en espèces, qui se traduit par une plus forte pondération des titres à revenu fixe. Il importe de revoir la répartition de votre actif à l’occasion et de vous assurer qu’elle est conforme à votre plan de placement. Vous pouvez utiliser l’Outil de rééquilibrage du portefeuille pour comparer la répartition actuelle de votre actif à celle de votre plan, et pour déterminer les étapes requises afin d’ajuster ou de rééquilibrer la composition de votre portefeuille en conséquence.

Accordez autant d'attention à l’emplacement qu’à la répartition de vos avoirs. Veillez à ce que vos placements versant des revenus soient détenus dans des comptes enregistrés, et ceux produisant des dividendes ou des gains en capital, dans des comptes non enregistrés. Dans les comptes enregistrés, comme les REER et les FERR, tous les rendements sont privés du traitement fiscal avantageux dont profitent les dividendes et les gains en capital. Comme les placements qui produisent des intérêts, notamment les CPG, ne profitent d’aucun traitement fiscal avantageux, il y a lieu de les détenir dans des comptes enregistrés. De même, il est avisé de conserver les placements produisant des dividendes et des gains en capital dans des comptes non enregistrés. En procédant de la sorte, vous vous assurez que vos placements profitent dans l’ensemble d’une plus grande efficience fiscale.

Investissez tout au long de l’année. Si vous n’investissez pas régulièrement pendant l’année, vous pourriez participer à un programme de cotisation automatique à un régime enregistré pour votre REER, ou à un programme de prélèvement automatique pour un placement non enregistré. Pareils programmes sont parmi les moyens les plus efficaces et les plus faciles de cotiser à votre REER ou d’investir. Il est beaucoup plus facile de faire des cotisations ou d’investir régulièrement que de cotiser ou d’investir d’importantes sommes périodiquement. Ce fait est particulièrement important dans le cas des REER où nombreux sont ceux qui cotisent tout juste avant la date limite.

Établir un programme de cotisation automatique permet de réduire le stress lié aux placements, en plus de constituer une puissante stratégie d’achats périodiques par sommes fixes. En plaçant systématiquement le même montant à des intervalles réguliers, vous achetez plus d’actions ou de parts lorsque les prix sont bas, et moins lorsque les prix sont élevés. C’est simple et ça fonctionne remarquablement bien. Vos décisions de placement sont ainsi moins tributaires de la formulation d’hypothèses et de la recherche active d’occasions d’achat en temps opportun.

Consolidez vos avoirs. Vous pouvez tirer de nombreux avantages de la consolidation de vos avoirs auprès de BMO Ligne d’action. D’abord, en détenant tous vos avoirs au même endroit, vous avez une perspective plus claire de votre situation, ce qui vous permet de prendre des décisions plus judicieuses. Si vos avoirs sont placés auprès de différentes institutions, vous pouvez plus difficilement assurer le suivi de leur répartition et de votre stratégie globale, d’où le risque de chevauchements et de lacunes.

Par ailleurs, en regroupant vos avoirs, vous avez la possibilité de mettre en œuvre des stratégies de placement plus efficaces. La consolidation de vos avoirs auprès de BMO Ligne d’action peut vous aider à épargner de l’argent et à gagner du temps, en plus de vous donner des options qui ne sont pas offertes ailleurs.

Conclusion. Il est essentiel que vous examiniez votre portefeuille sous un angle nouveau pour y faire un bon ménage du printemps. Ne le modifiez pas aux seules fins de le modifier. Vous devez en fait l’aborder sous différents aspects lorsque vous procédez à son examen annuel. L’objectif est que votre plan de placement vous permette de réaliser vos rêves et d’atteindre vos objectifs.

Les commentaires contenus dans ce document ne constituent pas une analyse définitive des lois fiscales. Ils sont de nature générale, et nous vous recommandons d’obtenir un avis professionnel sur votre situation fiscale particulière avant de prendre une décision.

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Il y a tout juste 12 mois, les faillites retentissantes de quelques banques américaines et le vaste processus de désendettement des marchés mondiaux ont mis le système de la santé sur la sellette. Ce qui illustre à quel point la situation peut évoluer en un an. Les mesures de relance budgétaires et monétaires coordonnées des banques centrales mondiales ont été une composante essentielle de la démarche visant à aider l’économie mondiale à éviter ce que d’aucuns ont décrit comme la deuxième Grande Crise en 2009.

Les économies des marchés émergents ont également joué un rôle dans la reprise en V de l’an dernier. Dans le cadre de cycles économiques normaux, les marchés émergents ont montré une forte tendance à accuser un retard sur les pays développés ou les « économies riches ». Mais cette fois, au lieu d’être à la traîne de l’économie mondiale, les marchés émergents en ont été la locomotive. Les leçons tirées des crises qui ont secoué les pays asiatiques et le Brésil à la fin des années 1990 ont peut-être été utiles. Néanmoins, plusieurs de ces pays émergents disposaient de plans de relance beaucoup plus efficaces que ceux des pays développés. Les pays exportateurs nets, particulièrement ceux de l’Extrême-Orient, ont été en mesure de se constituer des surplus de devises qui ont servi à financer des programmes anticycliques, alors que les pays développés comme les États-Unis ont dû accroître leur déficit pour en faire autant.

Pendant la crise, depuis leur sommet jusqu’à leur creux, les bourses des pays développés ont fait un plongeon qui était certes important, mais largement amplifié. La panique et les ventes forcées ont pu contribuer à cette démesure, les investisseurs s’étant attendus à ce que les marchés émergents soient affectés par les difficultés des pays occidentaux. Lorsque des données économiques ont indiqué que les économies de certains marchés émergents, plus particulièrement la Chine et l’Inde, étaient en bien meilleur état que prévu, ces marchés se sont redressés. De nouvelles données indiquent maintenant que ces deux économies ont repris leur expansion à un rythme s’approchant de celui qui a précédé la crise. Au début du siècle dernier, la Grande-Bretagne cédait aux États-Unis sa position dominante dans le monde. De même assistons-nous aujourd’hui à un bouleversement considérable des puissances mondiales. Les potentielles puissances économiques de demain, notamment la Chine et l’Inde, peuvent compter sur des économies en rapide expansion, ce qui justifie leur présence dans le portefeuille d’un investisseur.

La Chine, vers une reprise durable à long terme
Selon la publication Economist Intelligence Unit, l’économie chinoise franchira deux étapes importantes cette année :

1. Elle dépassera le Japon à titre de deuxième économie en importance dans le monde.
2. Ses exportations atteindront 10 % du commerce international.

Il semblerait que la Chine soit en bonne voie d’atteindre ces cibles. À la fin de janvier, le Bureau national des statistiques (BNS) de la Chine a indiqué que le PIB du pays pour 2009 avait atteint 8,7 %, dépassant aisément la cible établie de 8,0 %. Ce faisant, la Chine a ordonné à ses banques de relever les coefficients de liquidité et prévenu le marché de s’attendre à des hausses de taux au cours du premier semestre de 2010. Bien que ces mesures aient quelque peu affaibli les marchés boursiers mondiaux, elles étaient nécessaires pour éviter une surchauffe de l’économie chinoise.

Ce resserrement de la politique monétaire pourrait offrir une occasion d’achat intéressante aux investisseurs à long terme. Il témoigne également de l’intention du gouvernement de maintenir sa croissance à long terme. La Chine a considérablement accru sa contribution au PIB mondial, ce qui donne à entendre qu’elle joue déjà un rôle important sur la scène économique. Sa croissance sur 12 mois est certes importante depuis 2000, mais il ne faut pas oublier que son PIB par habitant n’est toujours que le dixième de celui du Japon, ce qui permet de penser qu’il pourrait augmenter encore considérablement.

La Chine demeure cependant tributaire de ses exportations. En effet, selon la société Global Trade Information Services Inc. située à Genève, elle a récemment devancé l’Allemagne à titre de principal pays exportateur dans le monde. Comme les États-Unis sont toujours le principal marché d’exportation de la Chine, certains croient que la perspective d’un découplage serait plutôt farfelue à l’heure actuelle. En fait, les États-Unis affichent un déficit commercial avec la Chine qui correspond à environ la moitié du déficit américain total. Malgré tout, comme les salaires de même que les revenus disponibles augmentent en Chine et que la population plus jeune du pays s’occidentalise, la consommation intérieure chinoise s’accentue. Du coup, l’économie du pays est plus viable.

Les signes d’une hausse de la consommation intérieure en Chine se font déjà plus évidents. Selon le magazine The Economist, la Chine a supplanté les États-Unis à titre de principal marché d’exportation pour de plus petits pays asiatiques et même le Japon. Le commerce sera bilatéral, car la hausse des revenus dans les pays asiatiques voisins aidera également le marché de l’exportation chinois, lui permettant de ne pas être trop dépendant du marché américain à long terme.

Bien que l’indice composé de la Bourse de Shanghai ait grimpé de 80 % en 2009, il se négocie toujours à un ratio cours/bénéfice (C/B) de 34,9, qui est inférieur à son sommet de 52,1 atteint avant la crise. Les investisseurs qui cherchent un moyen économique d’acquérir des actions chinoises pourraient opter pour le FNB BMO actions chinoises couvertes en dollars canadiens (ZCH). Ce fonds donne aux investisseurs une participation dans des sociétés chinoises par l’intermédiaire de certificats américains d’actions étrangères (ADR) et de certificats internationaux d’actions étrangères (GDR). L’avantage d’utiliser des ADR et des GDR est que les sociétés présentent leurs états financiers conformément aux PCGR des États-Unis. Les sociétés étrangères qui détiennent des ADR et des GDR ont tendance à être d’une qualité supérieure à celle des sociétés qui n’en ont pas.

Le FNB BMO actions chinoises (ZCH) profite également d’une couverture en dollars canadiens, ce qui contribue à neutraliser considérablement les fluctuations entre le dollar américain et le dollar canadien. Cette caractéristique pourrait être particulièrement importante en 2010, dans un contexte où les différentes économies mondiales affichent des données fondamentales qui divergent et que certaines seront prêtes à relever leurs taux d’intérêt plus tôt que d’autres. Les écarts dans les hausses de taux d’intérêt à l’échelle des pays pourraient entraîner une volatilité accrue du change, particulièrement si les gouvernements interviennent pour que leurs exportations demeurent concurrentielles.

L’Inde, un géant dans l’ombre
À l’instar de la Chine, l’Inde est considérée comme une puissance économique en devenir, bien qu’elle demeure souvent dans son ombre. En 2009, l’Inde a été l’un des quelques pays qui sont parvenus à échapper à une grave récession. Grâce à son économie essentiellement axée sur la demande intérieure, le pays n’a pas été entraîné dans les mêmes profondeurs que d’autres pays durant la crise.

En 2009, le PIB de l’Inde a accusé un recul sur 12 mois. Mais, malgré de dures moussons qui ont nui à son agro-industrie et à ses secteurs connexes, elle a inscrit un PIB de 5,6 %, soit un taux supérieur à celui de la plupart des économies en période d’expansion. Il semblerait toutefois que l’optimisme des chefs d’entreprise augmente, puisque celui de Dun & Bradstreet est passé de 132 à 143 au cours du trimestre terminé en décembre 2009. Le marché de l’emploi semble s’être amélioré également, d’après l’indice de création nette d’emplois qui a grimpé pour un deuxième trimestre de suite.

Les perspectives de l’Inde sont prometteuses, compte tenu des projections du Fonds monétaire international (FMI) selon lesquelles le pays connaîtrait une solide reprise. Le FMI prévoit que la croissance du PIB de l’Inde sera de 7,7 % en 2010, devançant celle du PIB de 2008 qui était de 7,3 % et doublant presque celle de l’économie mondiale, qui devrait être de 3,9 % cette année. Le FMI s’attend également à ce que la croissance du PIB du sous-continent dépasse celle de l’ensemble des marchés émergents au cours de chacune des quatre prochaines années.

Les investisseurs qui cherchent un moyen économique d’acquérir une participation dans les marchés boursiers de l’Inde pourraient opter pour le FNB BMO actions indiennes couvertes en dollars canadiens (ZID). Ce fonds investit dans des ADR et des GDR de sociétés indiennes, offrant des avantages semblables à ceux du FNB BMO actions chinoises couvertes en dollars canadiens (ZCH). Ce fonds profite également d’une couverture en dollars canadiens, ce qui constitue un avantage pour les investisseurs qui craignent les fluctuations du taux de change.

Pour obtenir une liste complète des FNB BMO, veuillez consulter le site bmo.com/fnb.
Pour obtenir la liste des FNB offerts par BMO Ligne d’action, ouvrez une session et consultez la section FNB du menu Recherche.

Les informations, les opinions et les données statistiques contenues dans le présent rapport ont été obtenues auprès de sources jugées fiables, ou sont tirées de ces dernières. Toutefois, Jones Heward Conseiller en valeurs Inc. ne présente pas ces informations, opinions ou données statistiques comme étant précises ou complètes, et ces dernières ne devraient pas être considérées comme telles. Les placements et les stratégies de négociation doivent être évalués en fonction de la situation de chaque investisseur. Il est recommandé aux particuliers de demander l’avis de professionnels compétents au sujet d’un placement précis. Les FNB BMO sont gérés par Jones Heward Conseiller en valeurs Inc. Les placements dans les fonds négociables en bourse peuvent comporter des frais de courtage, des frais de gestion et des dépenses. Veuillez lire le prospectus avant d’investir. Les parts de fonds ne sont pas garanties, leur valeur fluctue fréquemment et leur rendement passé n’est pas indicatif de leur rendement futur. ^MD/MC Marque de commerce déposée/marque de commerce de la Banque de Montréal, utilisée sous licence.

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Par ailleurs, vous trouverez bientôt sur notre site un outil de recherche intelligent pour obtenir les cours des titres. L’outil effectue ses recherches à mesure que vous écrivez, de sorte que vous obtenez rapidement et aisément les cours des titres. Vous pourrez utiliser cet outil pratique où que vous soyez sur le site.

Nouvelle page d’accueil
Les principaux éléments de la nouvelle page d’accueil vous donnent rapidement accès aux renseignements les plus récents concernant votre portefeuille et les marchés.

1. Outil de recherche intelligent
L’outil de recherche intelligent vous permet d’obtenir rapidement et aisément les cours des titres. Il suffit de taper les premières lettres d’un titre pour que s’affiche automatiquement une liste de titres de premier ordre. L’outil de recherche intelligent est intégré à toutes les zones de recherche du site.

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  Vous pouvez afficher les cinq derniers cours obtenus pendant la session, de sorte que vous pouvez connaître rapidement le cours de vos titres préférés.
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  Lorsque vous écrivez dans la zone de recherche, des symboles et des noms d’entreprises s’affichent automatiquement pour vous aider à trouver ce que vous cherchez.
• Recherche par catégorie d’actif
  Les titres recommandés sont présentés par catégorie d’actif : actions, FNB, options, fonds d’investissement et indices.

L’outil de recherche intelligent simplifie la recherche de symboles lorsque vous consultez l’écran d’entrée des ordres ainsi que les pages Cours+, Liste et Alertes d’information.

2. Aperçu du portefeuille
L’Aperçu du portefeuille, dont la présentation a été entièrement repensée, comporte de nouveaux éléments utiles : valeur des titres, sommaire des gains et pertes du portefeuille (en dollars), liste des ordres ouverts et lien menant à votre plus récent relevé en format PDF. Tout le contenu de cette page est en date du jour ouvrable précédent.

3. Service maConnexion
Une de vos options ou un de vos CPG arrivera bientôt à échéance? Le service maConnexion vous procure des renseignements et des conseils personnalisés selon vos placements en portefeuille. Un sommaire pratique de vos messages dans maConnexion figure désormais à la page d’accueil.

4. Liens rapides
Cette nouvelle fonction permet d’accéder rapidement aux pages du site les plus souvent consultées.

5. Nouvelles sur vos placements
Quelles sont les tendances et les nouvelles qui auront une incidence sur vos placements? Consultez les plus récentes nouvelles sur vos actions et options en portefeuille, à partir de la page d’accueil.

6. Nouvelles sur les marchés
Consultez les plus récentes nouvelles sur les marchés boursiers, afin d’être en mesure de prendre des décisions de placement éclairées.

7. Gestion du compte
Le moment est-il venu de mettre à jour le profil du compte, de cotiser à votre REER ou de transférer un compte? Un accès rapide aux divers services, à partir de la page d’accueil, vous aidera à simplifier la gestion de votre portefeuille.

8. Caractéristiques du site
Découvrez les caractéristiques et outils du site qui vous aideront à faire fructifier vos placements.

Nous vous remercions de vos commentaires et espérons que notre nouvelle page d’accueil vous plaira.

*Selon les réponses données au sondage du comité consultatif de BMO Ligne d’action

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Adhérez à notre programme de cotisation automatique à un régime enregistré, afin qu’un montant fixe soit automatiquement retiré de votre compte bancaire à intervalles réguliers, puis déposé dans votre REER. Vous choisissez la fréquence des cotisations (mensuelles, trimestrielles ou annuelles) qui répond à vos besoins financiers.

Pour investir en toute simplicité vos cotisations, il suffit de remplir une demande de participation au programme d’achat automatique, et nous dirigerons votre argent dans le fonds d’investissement de votre choix¹. Abordable et facile à gérer, ce programme vous laisse toute la liberté voulue pour cotiser davantage à l’avenir, si tel est votre désir.

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Vous choisissez le compte où sont prélevées vos cotisations. En effet, vos cotisations peuvent être prélevées d’un compte établi auprès de n’importe quelle banque canadienne et être déposées dans votre compte REER.

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¹À partir de la liste de fonds d’investissement approuvés.

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En décembre 2008, BMO Groupe financier a été la première et la seule grande banque canadienne à offrir le régime enregistré d’épargne-invalidité. Ce régime est conçu pour aider les parents et les proches à économiser pour assurer la sécurité financière à long terme d’une personne vivant avec une déficience mentale ou physique grave ou prolongée.

Caractéristiques du régime :

• N’importe qui peut cotiser à un REEI.
• Le montant maximal à vie des cotisations versées dans un REEI est de 200 000 $ par bénéficiaire et il n’y a aucune limite annuelle.
• Les cotisations peuvent ouvrir droit à la Subvention canadienne pour l’épargne-invalidité (SCEI)*, jusqu’à concurrence d’une limite cumulative de 70 000 $ par bénéficiaire.
• Les bénéficiaires et les familles à faible revenu peuvent être admissibles au Bon canadien pour l’épargne-invalidité (BCEI)* même s’ils ne font aucune cotisation au régime. La limite cumulative du BCEI est établie à 20 000 $ par bénéficiaire.
• Les revenus de placement s’accumulent en report d’impôt.
• Au moment d’un retrait, le BCEI, la SCEI et les revenus de placement sont imposés en tant que revenus du bénéficiaire, dont le taux d’imposition est vraisemblablement inférieur à celui des parents ou des autres cotisants.

Pour en savoir plus

* L’admissibilité du bénéficiaire prend fin le 31 décembre de l’année où il atteint 49 ans. La SCEI et le BCEI sont offerts par le gouvernement du Canada et versés directement dans le régime établi au nom du bénéficiaire.

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Un sondage mené auprès des ménages canadiens révèlent que seulement 13 % de leur actif est investi à l’étranger*. En comparaison, nombreuses sont les
grandes caisses de retraite qui réservent une part accrue de leur portefeuille aux titres étrangers. Par exemple, on pouvait lire dans le Globe and Mail du 26
février 2007 que les actions étrangères comptent maintenant pour 35 % des actifs du Régime de pensions du Canada.

C’est à vous de décider quelle importance il faut donner aux placements étrangers dans votre portefeuille pour mieux profiter des occasions de placement et réaliser vos objectifs financiers.

*Source : Rapport sur le bilan des ménages de 2007 d‘Investor Economics

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